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Jordan Bardella : "Un poisson dans l'eau médiatique complètement dépolitisée"

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Les néolibéraux et les médias qu'ils possèdent ont trois candidats. La candidate macroniste Hayer qui doit défendre un bilan calamiteux.

Glucksman, le "social" libéral Macron compatible . Et l'insignifiant , mais non moins dangereux Bardella.

Bien sûr,(...)

Qui ? Le journaliste de Libé ne doit pas regarder la télé pour affirmer que les journalistes d’aujourd’hui sont gentils avec les politiques

Pour juste rester sur les dernières semaines revoir comment les interviewers ( sont ils journalistes ? ) agress(...)

Je l'ai déjà dit et e je vais le répéter : la "dédiabolisation" est une pure construction médiatique. On en a une nouvelle démonstration ici : Bardella en terrain conquis sur un plateau télé, sans contradicteur, pouvant dérouler sa rhétorique dégueul(...)

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Est ce que qq'un peut me dire "en deux lignes" ce qu'est le programme "social" du RN, dont parle le journaliste SVP?

Bravo madame El M en tout cas, de garder votre calme devant ces branquignoles qui sont soit incompétents soit qui anticipent sur les résultats de 2027!...

les deux messieurs (le "sondeur et le journaliste) me paraissent prendre le sujet assez à la légère; cela fait presque rire le sondeur quand Nassira  El Moaddem fait remarquer que le sujet n° 1 des gens est le pouvoir d'achat et non l'"arabe du coin" et que quasiment tous les media mettent le focus sur l'immigration! ... 

Je suis assez affligée de la façon dont lui et surtout le journaliste (de Libé!) prennent le sujet à la légère

les sondeurs et journalistes ont dû oublier de ragarder le documentaire "ls doléances" qui nous montrait une France préoccupée par bien d'autres choses (pouvoir d'achat, transport, désert médical...) que ce qu'ils veulent nous faire penser.

Une très bonne émission au coeur de la ligne éditoriale d'ASI. On prend la mesure d'une incarnation creuse par Bardella des peurs et des illusions des vieux ou jeunes électeurs du RN, biberonnés aux réseaux sociaux et aux fake news. Un vide sidéral de la pensée de citoyens qui ne comprennent pas que le RN, incarné par une image médiatique, n'a aucune solution pour gérer une société en crise sociale, écologique et économique avec les problèmes complexes qui s'y rattachent.

Pendant ce temps en Italie 


Le racisme, condition sociale du vote lepeniste



"Si les enquêtes d'opinion les plus sérieuses s'avèrent précieuses pour analyser le vote RN, elles ne suffisent pas à comprendre pourquoi une part de plus en plus importante des électeurs et des électrices choisissent l'extrême droite. Loin de chercher à établir un portrait robot type ou de proposer une galerie de portraits bien contrastés de ces électrices et électeurs, le politiste Félicien Faury en a longuement fréquenté, interrogé afin de saisir les logiques sociales à l'œuvre dans leur vote. Une ressort tout particulièrement : le racisme qui traverse l'ensemble de la société française et qui nourrit le « pouvoir » que constitue encore pour ces électeurs et électrices le bulletin de vote. "

Je passe par un nouveau message pour signaler que le fichier a télécharger reste corrompu ☹️

Il y a un truc qui me titille dans le titre. C'est le terme "d'eau médiatique complètement dépolitisée."


Sans vouloir jouer les toutologistes, je pense que, dans la vie publique, alors que tout ce que l'on dit ou fait est étalé sur la place publique via l'internet, TOUT EST POLITIQUE.


Et s'interroger sur les capacités de machin à évoluer dans une piscine dépolitisée, c'est ne pas voir la réalité en face.


J'ose espérer que ce n'est pas délibéré.



Je l'ai déjà dit et e je vais le répéter : la "dédiabolisation" est une pure construction médiatique. On en a une nouvelle démonstration ici : Bardella en terrain conquis sur un plateau télé, sans contradicteur, pouvant dérouler sa rhétorique dégueulasse face à des journalistes hochant la tête, alors qu'il serait simple de le coincer en trois phrases. Et ce cancer médiatique se répand de plus en plus. C'est désormais même le cas sur le service public.


Quand on regarde l'ensemble du tableau médiatico-politique, c'est vraiment effrayant, parce que par ailleurs, le pouvoir macroniste est à deux doigts d'interdire la gauche, tout simplement. Rien ne doit entraver le face à face programmé entre les macronistes et l'extrême-droite. Ils s'entendent comme larrons en foire, ça aussi, ça fait longtemps que je le dis.

Les journalistes sont (trop) gentils avec tous les politiques... Il y a quand même une famille qui prend cher à chaque interviews. Dommage que bantigny était absente à ce moment. La formule plutôt Hitler que le front populaire est malheureusement tjrs autant d'actualité et on ne peut pas analyser l'enthousiasme à l'égard du bolloss sans mentionner la frousse que provoque lfi à la classe dominante. 

D'habitude, j'essaie d'éviter de voir la gueule de Bardella et des machins du F-haine, et c'est pas facile, "Ils sont partout". Là, j'ai ma dose. Ajouter un mec de IPSOS... propriété de François Pinault (il aurait mérité d'être questionné là dessus). Plus le départ de Bantigny. Restent le gars de Libé, et Nassira, obligée à un minimum de politesse envers ses invités, c'est un peu léger pour équilibrer. 


Les sondages: qui les commande, les paie, qui possède les instituts, quelles sont leurs buts, avoués et souterrains, leurs méthodes pour mettre en relief ceci plutôt que cela, leurs effets sur ce qu'ils prétendent annoncer, effets voulus, effets involontaires, ya de quoi faire une sacrée émission. Chiche?

D'habitude, j'essaie d'éviter de voir la gueule de Bardella et des machins du F-haine, et c'est pas facile, "Ils sont partout". Là, j'ai ma dose.


ça n'engage que moi, mais je crois plutôt qu'il faut se forcer à écouter les discours de Le Pen, de Bardella, de Zemmour, de Marion Maréchal, à regarder CNews (surtout Bock-Côté, Charlotte d'Ornellas, Praud, Geoffroy Lejeune, Gilles-William Goldnadel, E. Levy, Jean Messiha...)* ; on en apprend bien plus sur leur mode de pensée, leurs revirements, leurs contradictions, leur mauvaise foi, leur réécriture de l'histoire, que dans toutes les pseudo-"déconstructions" d'ASI. Et ça évite de devenir leur reflet en miroir à ne savoir répéter que "fachos", "populistes", "racistes" comme des perroquets de gauche.


* enfin, pas tous les jours, faut pas déconner non plus...

Se forcer pour en apprendre quoi ?


Tout est une question de génération. Je ne connais pas l'âge de Cultive ton Jardin (mais je le devine), par contre je sais le mien. J'ai poussé entre le début de la guerre d'Indochine et la fin de celle d'Algérie.

C'est pas pour me vanter, mais en matière de discours racistes et fascisants, je pense avoir entendu tout ce qu'il est possible d'entendre et je ne pense pas avoir quoi que ce soit à apprendre des éructations des petits jeunes du Front, Rassemblement, machin-chose National.


Donc, je n'écoute ni ne regarde.

Par contre, je me bats.



 


Se forcer pour en apprendre quoi ?


Pour observer dans le détail comment se construit ce discours, comment il évolue dans le contexte actuel, avec des media aux mains de quelques milliardaires avec un projet politique, comment ce discours s'articule avec les réseaux sociaux, avec le dérèglement climatique, la surpopulation, etc. toutes choses qui n'existaient pas il y a 50 ans.

Certes.

Mais il y a cinquante ans, il n'y avait pas l'internet, ni le dérèglement climatique, (la surpopulation, c'est un truc qui m'échappe)* .


Il y avait les moyens d'information très largement aux mains de ceux qui tenaient le manche (c'est quoi, l'internet aujourd'hui ?), Il y avait la croyance absolue dans le progrès qui permettait d'exproprier les agriculteurs, d'expulser les habitants, de massacrer l'environnement au nom du progrès et de la production d'énergie (Tignes, Serre-Ponçon, Sainte-Croix, et quelques autres que j'oublie)  

 Il y a cinquante ans, les problèmes qui nous assaillent étaient déjà là. 

L'extrême droite aussi.


(*) la surpopulation, c'est un truc qui obsède ceux qui pensent que c'est les autres qui sont trop nombreux. C'est quand même bizarre que personne ne s'inquiète de l'augmentation exponentielle du nombre de milliardaires.


 Il y a cinquante ans, les problèmes qui nous assaillent étaient déjà là. 

L'extrême droite aussi.


Soyons précis :

- il y a 50 ans, la population mondiale était d'environ 3 milliards

- il y a 50 ans, la classe moyenne européenne vivait confortablement avec des perspectives d'avenir

- il y a 50 ans : Le Pen obtenait 0,75% des suffrages en 1974 et ne pouvait pas se présenter en 1981 faut d'avoir obtenu les 500 signatures

- il y a 50 ans : la Méditerranée n'était pas un cimetière pour migrants ; les "seuls" boat people étaient les Vietnamiens et on les accueillait chaleureusement.

Ce que je me suis permis de vous indiquer, et je m'en excuse si cela vous choque, c'est qu'il n'y a rien de nouveau sous le soleil, parce qu'il y a cinquante ans, 


- la production mondiale de biens alimentaires n'était pas ce qu'elle est aujourd'hui et tout le monde pouvait comme aujourd'hui espérer manger à sa faim .



- la classe moyenne mondiale je répète mondiale, pas européenne pouvait espérer bien mieux que les promesses qu'on lui faisait.


- il y a cinquante ans, Le pen n'avait pas encore hérité du statut d'épouvantail que Mitterrand a su lui donner plus tard.


- il y a cinquante ans, personne ne se souciait de qui mourait en Méditerranée ou ailleurs pour fuir la misère et la mort.


- il y a cinquante ans, Le pen n'avait pas encore hérité du statut d'épouvantail que Mitterrand a su lui donner plus tard.


LOL !

Alors, si on suit votre raisonnement, si 43% de soit-disant français "racistes" votent Le Pen, c'est la faute à Mitterrand ?

Vous devriez postuler au Comedy Club, vous auriez beaucoup de succès.


Sans remonter jusqu'à la crise de 1929 et l'Allemagne nazie, on trouve des exemples où une crise économique et sociale entraine une montée de l'extrême-droite : prenez l'Angleterre du début des années 70 et la montée du National Front face à la "menace" des travailleurs immigrés sur les emplois des cols bleus (pour faire court). Situation qui a abouti en 1979 à l'élection de Thatcher en briseuse de grèves.


Mais j'imagine que c'était aussi la faute à Mitterrand...


Quant à votre vision de la classe moyenne mondiale, je ne suis pas sûr qu'elle était une réalité il y a 50 ans : elle devait surtout concerner les pays de l'OCDE de l'époque. En effet, pouvait-on parler d'une classe moyenne dans le Bloc de l'Est, ou en Chine (qui se remettait à peine de la Révolution Culturelle), ou en Amérique Latine, ou en Afrique ? Surtout d'une classe moyenne préoccupée de consommation ?


Il y a 50 ans, j'avais 18 ans, j'ai voté pour la 1ère fois, et j'ai un souvenir assez clair du monde de cette époque.

"mais je crois plutôt qu'il faut se forcer à écouter les discours de..."


Oui, vous avez sans doute raison, le problème c'est que je peux plus les supporter, et pareil pour macron. Quand je vois leurs gueules d'angelots et que j'entends leurs paroles sucrées, je vire de suite sur un documentaire animalier, yen a plein en ce moment et même certains sont intelligents ce qui n'était pas gagné. 


Par contre, je fais un effort pour écouter ceux qui, dans mon entourage, sont séduits par ces salopards. Et pour comprendre ce qui les motive. J'ai deux ou trois clés: le ressentiment qui fait haïr les politiques en général, la peur du déclassement qui fait haïr (peur de leur ressembler) tous les pauvres plus pauvres que soi, étrangers ou pas, la soumission à l'autorité salvatrice (car, dans les milieux populaires, on sait bien qu'être rebelle ne mène souvent qu'au déclassement, on éduque ses enfants dans l'obéissance à plus fort que soi). L'anti-intellectualisme (là, c'est la faute des intellos méprisants) l'anti-écologie (là, c'est la faute des écolos hautains).  


Et je fais clairement la différence entre ces salopards et la plupart de leurs électeurs floués.

Et je fais clairement la différence entre ces salopards et la plupart de leurs électeurs floués.


Sauf erreur de ma part, on est sur la même ligne.

Et je me permets donc de réitérer que ce n'est pas en répétant comme un perroquet "salauds", "fascistes", "racistes" qu'on fera évoluer la situation, car en face ils en font autant ("wokisme", "extrême gauche" "islamo-gauchistes"), mais plutôt en décortiquant VRAIMENT leurs discours, leur mode de pensée, leur façon de ré-écrire l'histoire, leur vocabulaire, les incohérences et les contradictions de leurs programmes politiques et économiques, etc. etc.


Et cela ne peut se faire qu'en connaissance précise de ces éléments et en prenant en compte précisément le contexte actuel.


Après, constater que presque aucun media d'envergure ne le fait (même pas ASI), c'est entièrement vrai, mais c'est une autre histoire.

"en connaissance précise de ces éléments"


C'est ça, en effet, qui nous manque cruellement, et nous fait regretter que ceux dont ce serait le boulot de nous apporter des éléments de compréhension ne le fassent pas. 


J'ai oublié dans la liste des motifs qui font que des gens qui ne sont pas des monstres votent FN la question de la dignité. "Fier d'être français", ça m'échappe un peu, mais je peux comprendre car au fond du fond ça ne me laisse pas totalement indifférente: je suis assez consternée, en ce moment, de l'image que donnent de la France "nos" dirigeants. De même quand des étrangers me parlaient en souriant malicieusement, sous sarko, de "votre président bling-bling".

Merci!

Cet entretien avec Félicien Faury sur Regards répond à certaines de ces questions. Ya un bouquin aussi: "Des électeurs ordinaires, enquête sur la normalisation de l'extrême droite"

À 18 minutes, le mec d'IPSOS commence fort! "des candidats RN "un peu baroques" dit-il! Parce que la présence de néo-nazis de toutes sortes dans les soutiens au FN, ce ne sont pas des indices inquiétants de sa véritable nature, ce ne sont que des originalités un peu folkloriques (qui les rendraient plus tôt sympathiques, non?)


Rappelez moi à qui appartient l'institut de sondage IPSOS (et les autres, par la même occasion). Merci quand même à Nassira de s'être, spontanément, un peu étouffée en relevant cette évidente "dépolitisation" sans aller trop loin cependant, c'est délicat de se brouiller avec un invité dès le début d'une émission.

Où est passée Ludivine Bantigny dans la (grosse) seconde moitié de l'émission ? A la fin, les remerciements vont aux deux autres intervenants, et elle semble avoir disparu depuis un moment. J'ai sans doute raté un truc...

Bon, ce qui commence à vraiment m'inquiéter, c'est de voir de plus en plus de journalistes des grands médias et de toutologues devenir très gentils avec le RN... Le RN était quand même assez malmené par eux il y a encore quelques temps. J'ai l'impression que certains commencent à assurer leurs arrières en cas de victoire du RN en 2027...

Au sujet des européennes, les grands médias se permettent de critiquer la plupart des candidats qui, soi-disant, feraient une campagne trop "nationale". Difficile pourtant à vérifier, tant les dits-médias ne se concentrent que sur un très petit nombre de candidats, et pas du tout pour éplucher leurs proposition européennes, mais, comme d'habitude, pour commenter la course de petits chevaux ou, comme dans le cas de Bardella (comme le souligne cette émission), nous montrer des paillettes et des courses aux selfies. Jusqu'à présent, le spectateur d'infos télés (avec modération) que je suis n'a pratiquement jamais entendu parler d'autres candidats que Bardella, Hayer, et, dans une moindre mesure, de Gluskcsman, la nouvelle coqueluche (probablement parce qu'il pique des voix aux partis "trop" à gauche, écolos compris). Et après, ils pignent parce qu'on va chercher de l'info ailleurs que chez eux. Ils répètent en boucle "allez voter", mais ils se foutent de ces élections comme de leur première chemise,n et n'invitent que les grosses écuries, pour des raisons d'audience. Et ils nous parlent de démocratie !

Je confirme les commentaires de Tom et Curatorm ci-dessous : la vidéo bugue toutes les deux minutes. Si nous sommes plusieurs à le constater, c'est qu'il doit y avoir un problème.

Pas encore regardé, mais une hypothèse optimiste (qu'est ce qui me prend ?) serait que certains médias traitent aussi généreusement Bardella dans l'espoir qu'il se Mégretise d'ici 2027, ce ne serait pas la première fois qu'ils font le coup de la starification à l'alternative du moment à la famille (voir Philippot aussi à un moment).  La question que pas mal se posent restant tout de même quel peut être l'avenir d'un non-Lepen à la tête de ce parti (voire quelles sont les chances de voir une guerre des chefs ramener le RN à ses scores des 2000, par extension, s'il se décidait à se brouiller avec Marine).

Après c'est peut être un mauvais calcul de l'espérer sachant qu'il est jeune, et semble promis à lui succéder sinon pour la prochaine pour la présidentielle suivante.

ce pays est prêt à élire une chaise si elle est suffisamment n*zie et raciste.

Bonjour. Juste pour signaler qu'il m'est impossible de regarder l'émission. Il semble y avoir un problème avec la vidéo.

Pour dire que le fichier à télécharger est corrompu : il y a le son mais pas l’Image 😕

Mais ,c'est tout simplement un influenceur,il devrait vivre avec tous ces" Ken et Barby "à Dubaï.

De plus,voir sa vie privé sur Wikipédia.:-)

Pour le sondeur le RN n'est plus vraiment d’extrême droite en apparence et il le dit....  et hop c'est passe creme.. Alors que 20 minutes plus tard le gars de Libe explique pourquoi de son point de vue le RN c'est toujours des fachos. 


faut vraiment pas laisser passer ce genre d'intervention. 


  



Bon! au bout d une heure j'ai calé. Il y avait une demie heure de trop

Les néolibéraux et les médias qu'ils possèdent ont trois candidats. La candidate macroniste Hayer qui doit défendre un bilan calamiteux.

Glucksman, le "social" libéral Macron compatible . Et l'insignifiant , mais non moins dangereux Bardella.

Bien sûr, les médias mettent ces trois là en tête de gondole. Marketing intense pour cacher le vide de ces produits.

Il n'y a qu'un adversaire pour eux.

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